1.

Je me suis installé à Paris à la fin du mois de juin. Avec le déménagement, je n’ai pas eu le temps de m’occuper de prévoir des vacances. De toute façon je viens de commencer un nouveau job, alors je n’ai pas vraiment le loisir de poser des congés. Et puis c’est l’idéal, je vais pouvoir profiter de la belle saison pour découvrir mon environnement, là où je vais désormais devoir construire ma vie. Le désavantage est que je ne connais rien ni personne. Il va falloir que je me fasse des amis, ce qui n’est pas forcément mon point fort. Mais nous sommes dimanche et le soleil brille, je ne vais quand même pas rester dans mon appartement. Je regarde sur Internet l’endroit sympa le plus proche pour profiter de la journée et je m’habille pour me rendre au parc Monceau.

Il y a énormément de monde, c’est un parc assez grand. Je commence par en faire le tour. Sur le chemin je croise beaucoup de sportifs. Les Parisiens semblent aimer cet endroit pour faire leur footing. En pleine chaleur c’est débile, mais je ne vais pas faire la morale aux autres, parce que moi aussi ça me ferait du bien de courir. Et il y a de quoi être motivé. Étant donnée la chaleur, les sportifs ont enlevé le haut, pour se sentir plus à l’aise. Une excellente initiative puisque je peux me faire du bien aux yeux. Exprès je marche à contre sens des coureurs pour les voir de face. Il y a tellement de torses magnifiques, bien sculptés, fins, poilus juste ce qu’il faut, transpirant… J’ai envie de me coller contre le corps de presque tous les coureurs que je vois.

Il faut que je m’installe à un endroit depuis lequel je vais pouvoir continuer à admirer ces jolis corps en plein exercice. Et aussi, je prends place non loin de mecs qui sont en train de jouer au foot, enfin de se faire des passes avec un ballon. Eux aussi ont chaud et se sont mis à l’aise. C’est beau un homme torse nu, juste en short, en train de s’agiter virilement. Je pensais venir me détendre mais ce n’est pas vraiment ce qui se produit dans mon boxer en ce moment. Je n’ai pas à être gêné ou à me sentir honteux, il faut profiter de ce que la nature nous offre ! Et je sais déjà que je vais souvent venir ici puisqu’il y a trop de belles choses à observer.

L’un des mecs vient vers moi et me demande si je veux jouer. Ils sont un nombre impair et ont envie d’une personne en plus pour pouvoir former deux équipes. Même si je ne suis pas doué avec un ballon, j’accepte. Mon objectif est de me faire des amis, il faut que je sois sociable. Enfin, c’est quand même moins drôle de participer à leur jeu que de simplement regarder leurs corps parfaits luisant au soleil. L’intérêt c’est qu’ensuite je peux joindre leur groupe pour un moment de repos, le temps de reprendre notre souffle.

Ils ont prévu des bières. Je suis intégré au groupe. Quel plaisir d’être assis avec ces mecs mignons qui sentent fort la transpiration. Parce que oui, un mâle qui sent la transpiration ça m’excite à fond. Et là je suis servi. Moi aussi je me suis mis torse nu, pour imiter les autres, c’est le meilleur moyen de se faire accepter. Une légère brise souffle sur mes tétons, je me sens bien, je suis entouré par des beaux mecs, je suis excité. Je passe une super après-midi et ils me demandent si je serai à nouveau là dimanche prochain. Je ne vois pas pour quelle raison je serais absent, j’ai déjà envie d’y être ! En rentrant à l’appartement il faut que je me soulage. Je pourrais me contenter de ma main en repensant à ces jolis corps que j’ai vu dans le parc. Je décide pourtant de profiter de mon excitation pour découvrir quel genre de mec je peux faire venir pour un plan, il faut que j’utilise le plein potentiel de Paris !

2.

Le plus gros problème, finalement, c’est le choix. Je viens de télécharger une application et de créer mon profil. Immédiatement, des dizaines de mecs habitant près de mon appartement tentent une conversation, pour me convaincre de faire un plan. C’est ce que je cherche de toute façon. J’imagine que c’est parce que je suis nouveau sur l’application que j’ai tellement de demandes, il y en a qui veulent de la chair fraîche. Je ne veux pas vraiment passer mon temps à discuter, mon boxer est déjà trempé, il faut absolument que je me soulage. Alors je finis par choisir un mec, je lui donne mon adresse et il ne me reste plus qu’à attendre. Les minutes me paraissent longues, je finis par croire qu’il m’a posé un lapin. Quand on a les couilles pleines, on devient impatient…

Il finit par sonner, je le laisse monter. L’été est une saison sympa, que j’adore, sauf qu’il y a un inconvénient majeur : la chaleur écrasante. Mon plan ne semble pas plus étonné que ça de la température qu’il fait dans mon appartement. C’est d’ailleurs une bonne entrée en matière pour qu’il ait une excuse et retire son tee-shirt. Il est absolument magnifique. Nous discutons à peine, je ne connais même pas son prénom et il s’en fiche du mien. Ce n’est pas une rencontre pour échanger des amabilités mais bien pour baiser, tout simplement. Je l’amène dans ma chambre, il m’allonge sur le lit et me déshabille. Je me laisse totalement faire. Je suis en quelque sorte impressionné.

Lui aussi se met rapidement nu. Il me présente son beau sexe bien dur pour que je le suce. Je m’applique, j’ai envie de lui faire plaisir. Je sais que la fellation est mon point fort, que je suis doué pour lécher correctement une bite, et les gémissements de ce mec prouvent qu’il profite de mon « don ». La seule conversation que nous avons se résume à : « T’as des capotes ? ». Il enfile un préservatif, m’écarte les cuisses et entre comme s’il était déjà chez lui. Il me sodomise avec violence. Nos corps transpirent, il est viril, je me laisse dominer par ce mâle en rut. Il ne prend pas son temps, il a aussi envie de se soulager. Je me masturbe en le regardant se défouler dans mon cul : « Jouis ! ». J’exécute son ordre, je lâche mon foutre sur mon torse. Quelques secondes après je sens son sexe se contracter entre mes fesses, il pousse un cri d’orgasme.

Puis il s’allonge sur le lit. Il a besoin de reprendre son souffle. Je lui donne une serviette pour qu’il essuie sa transpiration. Ce n’est pas désagréable un mec en sueur, d’ailleurs j’adore l’odeur virile de la transpiration.

– Bon sucer, mec.

– Qu’est-ce que tu fais ?

Il vient de mettre ce commentaire sur mon profil, puisque l’application permet de laisser des commentaires !

– Tu vas avoir plein de demandes, c’est rare un mec qui suce aussi bien.

Je le remercie timidement. Il ne s’attarde pas plus, se rhabille et s’en va. C’était rapide, c’était bon, mais ce n’était pas vraiment satisfaisant. On s’est juste vidé les couilles, sans plus. Il faudra que je m’y prenne autrement la prochaine fois, il faut que j’explore les lieux réputés gays de la capitale !

3.

Évidemment, quand on vient d’arriver à Paris et que l’on veut s’immerger dans le milieu gay, on se rend au Marais. C’est ce que je fais en cette belle après-midi d’été. Je ne sais pas trop comment m’habiller, j’ai peur de faire tache au milieu des autres. Mais il va d’abord falloir que j’observe avant de me décider pour une nouvelle garde-robe. Avec le métro il ne me faut pas longtemps pour arriver au cœur de la vie gay de la capitale. Immédiatement, je me sens bien. Il y a une excellente ambiance, les terrasses des cafés sont pleines. Mais comme prévu, je ne suis pas du tout habillé comme il faut…

Je marche pendant un long moment, pour découvrir les lieux. Puis j’essaie de me trouver une place, ce qui n’est pas facile, surtout que seul je vais occuper une table entière, ce qui ne plaît pas au serveur. Je regarde autour de moi, il y a pas mal de mecs mignons, je suis déjà excité. Je voudrais aller vers eux et entamer la discussion, mais ils sont trop impressionnants. Ils ont l’air tellement sûrs d’eux. Finalement c’est beaucoup plus pratique de passer par une application, dans la vie réelle je suis totalement bloqué, je n’ose pas draguer en direct ! Certains croisent mon regard et se détournent, est-ce que je ne suis pas à la hauteur de ce milieu ? Qu’est-ce qu’être à la hauteur dans ce domaine…

Finalement, alors que je finis mon premier verre de limonade, un mec s’approche de ma table :

– Salut, je peux m’asseoir ?

Je ne vois pas pourquoi je dirais non, puisqu’il est plutôt beau.

– T’es nouveau ici ! T’inquiète pas, ça se remarque tout de suite parce que tu n’as pas encore enregistré les codes de cet endroit et c’est justement ce qui te rend chou.

Je le remercie timidement.

– Tu es venu chercher quoi ?

– Je ne sais pas trop, je voulais juste voir le Marais.

– C’est la bonne période. Il fait chaud, les mecs s’habillent légèrement, on peut les admirer. Quelles sont tes préférences ?

Je ne sais pas réellement quoi dire. J’aime les mecs, je ne vois pas ce qu’il entend par sa question.

– Poilus, imberbes, jeunes, vieux, virils, efféminés…

– Les poilus virils.

– Génial ! Sauf que t’es pas au bon endroit, les bears se réunissent un peu plus loin. Tu veux y aller ?

Il est plutôt sympa. Je le suis pour voir cet endroit où se regroupent les mecs qui répondent à mon fantasme principal.

4.

Effectivement, un peu plus loin il y a un bar dans lequel se réunissent surtout des bears, c’est beau des hommes poilus !

– Bon, j’avoue que je ne comprends pas ce que tu leur trouves.

Je ne sais pas pourquoi mon guide est si gentil, il me parle déjà comme si nous étions potes.

– Ce sont plutôt des daddys, c’est ça qui te fait triquer ?

Pas forcément, en fait. Ce que j’aime, ce sont les hommes poilus, c’est viril, sexy, j’adore. Alors, effectivement, dans ce bar il y en a beaucoup avec des ventres proéminents, ce n’est pas forcément mon trip, même si je comprends qu’on aime.

– Ce qu’il y a de bien ici c’est qu’ils sont fiers de leurs poils.

Ils sont effectivement, pour la plupart, torse nu. Et heureusement, j’aime quand il fait assez chaud pour que les hommes enlèvent le haut.

Moi je ne parle pas beaucoup. Je suis quand même assez impressionné par tout ce que je vois. Je n’ai pas l’habitude de me trouver dans un endroit aussi décontracté, dans lequel plane un sentiment de liberté. Un homme s’approche de moi. Il doit avoir la trentaine. Son corps est entièrement recouvert de poils et il a un petit ventre dessiné, qui le rend assez sexy.

– Salut, vous êtes venus en couple ?

Mon guide est parti chercher des bières.

– Euh non, on est juste potes.

C’est peut-être un peu exagéré, mais l’autre n’a pas à le savoir.

– T’aimes les mecs poilus ?

Je fais oui de la tête. Lui prend ma main et la pose sur son torse. Il me dit de le caresser, ce que je ne me prive pas de faire. C’est tellement doux de passer mes doigts entre ses poils. Je m’attarde sur son torse, essayant de titiller ses tétons.

– J’adore ça !

J’ai envie de me coller contre lui, de le renifler, de le lécher, de me perdre dans ses poils. Il me rend complètement dingue, je commence à tremper mon boxer.

– Il y a une baqckroom en bas, ça te dit ?

La proposition est totalement dingue. Je sais ce qu’il se passe dans ce genre d’endroit mais je n’y ai jamais été. Pourtant je ne dis pas non, il faut bien une première fois à tout…

5.

L’homme qui me fait découvrir l’univers des backrooms est tout à fait à mon goût. Le corps bien dessiné, des pectoraux robustes, des bras musclés… et surtout un torse bien poilu. Rien que comme ça, il m’excite déjà beaucoup.

– On doit se déshabiller pour entrer ?

Il rigole. Je m’imaginais que tout le monde était nu dans ce genre d’endroit. Apparemment, ce n’est pas un sauna… Pourtant, alors que nous sommes en plein été et que dehors il fait encore plus de trente degrés, on pourrait s’y croire ! Ils n’ont pas installé la climatisation dans ce sous-sol, je ne sais pas pourquoi je pense à ce genre de chose.

– On ne voit presque rien.

– C’est le principe !

– Mais alors, on ne sait pas vraiment avec qui on baise.

– L’important c’est de sentir le monstre qui te pénètre.

Il y a pas mal de monde. On entend des gémissements, parfois des cris. On voit des silhouettes se déchaîner et d’autres supporter les coups. On ne vient pas ici pour une masturbation entre potes ni même pour une simple fellation. Quand on entre dans cet univers c’est pour sodomiser ou se faire sodomiser. Mon guide de backroom me plaque contre le mur et baisse mon calbut.

– Tu vas…

– Tu me fais bander.

Je me penche pour bien présenter mes petites fesses. Il n’hésite pas, il me pénètre d’un coup. Inutile que je crie, ici on ne fait pas dans la dentelle.

– Putain c’est bon dans ton trou.

Il me tient par les hanches et me défonce de toute sa virilité. La chaleur augmente, je transpire comme un dingue. L’odeur de la sueur mêlée de tous ces mâles me rend encore plus fou, c’est un vrai plaisir de se faire prendre dans ce genre d’endroit. Mon guide se finit assez vite.

– Cool, mec.

Nous remontons au niveau du bar. Pas comme si de rien n’était puisque tout le monde sait ce que nous avons fait. Et mon tee-shirt est trempé de sueur. J’ai bien aimé cette petite visite, même si elle n’a pas duré très longtemps. De toute façon je sais que je vais revenir, étant sûr qu’il y aura toujours quelqu’un pour me pilonner.

6.

Comme la canicule est assez violente cette année, impossible de sortir durant la journée, à moins de vouloir transpirer à peine posé le pied dehors. Alors c’est en soirée, quand l’air se rafraîchit un peu, que je marche dans les rues de Paris. C’est excitant de découvrir une nouvelle ville, il y a tellement de choses à voir ! Et je ne fais pas attention à mon parcours parce que si je me perds, ce qui est déjà arrivé, il y a toujours une station de métro qui me permet de revenir jusqu’à chez moi.

Ce soir je me faufile dans des rues que je ne connais pas encore. Je ne sais pas depuis combien de temps je marche, quand je m’adonne à mes flâneries je ne porte pas de montre. Je me retrouve dans un petit parc, assez joli, il n’y a pas grand monde. Et puis, au détour d’un bosquet je crois voir quelque chose, quelqu’un. Ce n’est pas possible. Je reviens sur mes pas et je m’approche.

– Tu aimes ce que tu vois ?

À peine caché, un homme est là, nu, en train de se masturber. Je sais que l’exhibition est un passe-temps assez répandu mais je ne pensais pas voir ce genre de scène dans un parc public. J’ai encore tellement de choses à apprendre…

– Sors-la.

Je ne peux pas détacher mes yeux de cet homme en train de se branler. Il n’est pas forcément bien foutu, mais c’est toujours beau de voir un homme se masturber.

– Il ne faut pas avoir peur.

Je m’approche. J’ouvre les boutons de mon jeans. J’ouvre le bouton de mon caleçon et je sors ma queue. Elle est déjà bien raide.

– Magnifique ! Branle-toi.

Je n’en reviens pas de ce que je suis en train de faire. Nous sommes dans un espace public, j’ai la queue à l’air et, poussé par l’excitation, je commence à me masturber.

– C’est bon de faire ça dehors.

Il n’a pas tort. C’est toujours bon de se branler mais là, comme il y a une forme d’interdit et que nous pourrions être surpris à n’importe quel moment, c’est encore plus excitant. En me regardant, le mec finit par jouir. Son sperme s’accroche dans les bosquets et tombe sur le gazon. J’imagine la tête de ceux qui viendront là plus tard pour profiter de la nature. Il remet ses vêtements et se tire. Là, tout seul, je n’ai pas le courage d’aller jusqu’au bout. Je rentre mon membre et je continue mon chemin. L’idée de me branler et d’éjaculer dans un lieu public ne me quittera plus, il faut que j’aie les couilles de réaliser ce fantasme !

7.

Avant l’autre soir, je ne savais même pas que j’aimais l’exhibition, cela ne m’avait même pas traversé l’esprit. Je ne suis pas forcément pudique, mais même chez moi je ne me balade pas à poil, puisqu’il y a des fenêtres partout et que chacune a un vis-à-vis. Je ne veux pas choquer mes voisins. Peut-être que certains apprécieraient, d’autres par contre seraient capables d’appeler la police pour me dénoncer en temps que pervers qui leur impose sa nudité.

Mais l’autre soir j’ai apprécié ce moment dans le parc, sortir mon sexe en public pour me masturber. Mon premier réflexe en rentrant a évidemment été de me renseigner sur Internet. Et sur le réseau mondial on trouve vraiment de quoi assouvir toutes ses envies. Il y a un lieu dans Paris où les hommes aiment s’exhiber. C’est un peu anxieux que je m’y rends, parce que c’est quand même une découverte pour moi et quand quelque chose est nouveau, on ne peut pas s’empêcher d’avoir une appréhension.

Je suis vite rassuré lorsque j’arrive puisqu’il y a déjà plusieurs mecs, calbut sur les chevilles, en train de s’astiquer. Apparemment on n’est même pas obligé de se mettre à poil, on peut juste mater, puisque c’est pour cela qu’ils viennent dans ce lieu : être observés. Mais je ne suis pas venu uniquement pour être spectateur. Alors, face à un mec qui me plaît, je baisse mon jeans et mon boxer. Je suis déjà tendu, il m’en faut beaucoup moins pour avoir une érection alors dans ce contexte je suis à mon maximum.

Nous sommes là, entre ces bosquets, deux inconnus en train de se masturber face à face. Pas un mot, pas un commentaire. Il n’y a de toute façon rien à dire dans ce genre de situation, nous nous apprécions mutuellement, nous partageons quelque chose sans même échanger une parole. Il y a d’autres mecs qui passent et qui regardent. C’est vrai que c’est hyper excitant d’être regardé en pleine action. Chaque fois que je sens un mec en train de me mater, j’accélère ma branle, je me montre plus viril, j’en viens presque à faire mal à ma queue.

L’autre finit par se soulager. Il a un jet puissant, il a presque réussi à me toucher. Je regarde son sperme s’accrocher dans l’herbe. Il se vide totalement. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas encore joui. Quand je mate un porno en général il faut moins de dix minutes pour que j’éjacule. Là je suis dur, je m’astique comme un malade, mais j’ai l’impression que je peux encore tenir un bon moment. En fait je n’ai pas envie que ça s’arrête, je me sens bien dans cet endroit, j’adore m’exhiber. Un autre inconnu s’approche. Il se met à genoux devant moi. Il a envie de me sucer. Est-ce que je suis prêt à me laisser faire ?

8.

Dans cet endroit il est inutile de parler. Les mecs ne viennent que pour s’exhiber et plus si affinités. Enfin, on ne peut pas vraiment parler d’affinités, un type se met à genoux devant moi et je dois décider si je le laisse sucer ma queue ou non. Le choix n’est pas très difficile. Depuis un moment je me masturbe devant des inconnus, je suis en rut, je bande comme un taureau, je me sens bien, parfaitement dans mon élément. Alors je lâche ma queue, je place mes mains sur mes hanches, je laisse pointer mon sexe, j’invite l’inconnu à s’occuper de moi.

D’une main il saisit délicatement ma verge. Il la décalotte complètement et commence par donner des petits coups de langue sur mon gland. Rien qu’à cette étape je suis déjà heureux. Il se focaliser sur mon frein, le léchant tendrement, je sens que je mouille énormément, ce qui semble faire plaisir à mon suceur puisqu’il lèche tout ce que mon sexe produit. Moi je me sens viril, je le domine, je suis le mâle à qui l’on fait du bien. Et surtout, il y a pas mal de monde qui nous regarde, ce qui me rend encore plus fier, ce qui m’excite encore plus.

Doucement il entre mon sexe dans sa bouche. Il sait vraiment bien y faire, je ne peux pas m’empêcher de gémir. Il va et vient doucement, faisant glisser mon gland surexcité entre sa langue et son palais. Au comble du bonheur je passe une main derrière sa nuque et je lui donne le rythme pour que cette fellation me fasse le maximum de bien, me procure le plus de plaisir possible. Je sens que le jus monte, je regarde ces inconnus qui sont les spectateurs de la scène. J’aime me donner en spectacle, j’ai aussi envie de faire plaisir à ceux qui me regardent prendre mon pied.

Je ne sais pas trop quoi faire. Est-ce que je peux jouir dans la bouche de ce mec ? Pour moi ce serait une première, personne n’est jamais allé jusqu’à avaler mon jus. Je voudrais bien demander conseil mais je ne peux pas interrompre ce moment de délice, je dois me laisser faire et les choses coulent naturellement. Par mes gémissements de plus en plus appuyés je fais comprendre à l’inconnu suspendu à ma bite que je suis sur le point de me vider les burnes. Il continue à me pomper, je vais tout lâcher.

Mon sperme se libère dans sa bouche. Je ne peux pas faire autrement que de pousser un cri, c’est le meilleur des orgasmes. Je sens mon foutre couler dans sa bouche, il avale le plus rapidement possible, il continue à me lécher alors que mon sexe est toujours en train de se contracter sous la pression de ce qui sort. Je suis au comble du bonheur, un mec vient d’accepter d’avaler ma semence et en plus cela se fait devant cinq ou six spectateurs, qui eux se laissent jouir, excités par le spectacle. Je n’ai jamais été aussi heureux.

9.

Je passe une bonne partie de mes soirées d’été à venir dans cet endroit où les hommes aiment s’exhiber et se faire du bien. C’est devenu comme une addiction. Enfin, le sexe est toujours une addiction. D’abord on est accro aux photos de mecs à poil devant lesquels on se masturbe frénétiquement. Puis on découvre les sites de vidéos pornos et on ne peut plus s’en passer pour se faire du bien. Après on pratique une sexualité par webcams interposées.

À chaque étape on devient accro à sa nouvelle découverte. Au début en pense que ce qu’il y a de meilleur c’est la masturbation. Puis on se fait sucer et ça devient la meilleure façon de se faire plaisir. Avant de découvrir la sodomie et d’y devenir accro aussi. Ensuite, la sexualité n’est qu’un ensemble de variations sur ces thèmes de base.

Ici, derrière ces bosquets, je peux tout avoir. Certains soirs je me contente de me branler, d’autres je me laisse sucer ou je pompe un inconnu, quand sa queue me plaît. Et puis, on ne fait pas que ça dans cet endroit. Un soir, je me promène entre les bosquets quand je tombe sur un mec à poil, montrant son trou bien ouvert. À côté de lui il a déposé une capote. Il ne me regarde même pas, il n’a pas envie de savoir qui va venir en lui, il veut juste se faire défoncer.

Je suis chaud, la queue bien raide, et ce joli petit cul offert ne me laisse pas le temps de réfléchir. J’enfile la capote, je me mets en position et j’entre dans cet anus comme dans du beurre. Pendant un bon moment je me fais plaisir dans cet inconnu, encore une fois observé par plusieurs mecs. Dès qu’ils entendent des gémissements ils approchent pour voir ce qu’il se passe, qui se fait du bien. Moi en train de pilonner un gars pendant que d’autres se masturbent autour de moi, c’est encore un nouveau plaisir qui surpasse les autres.

Le soir suivant j’ai envie d’inverser les rôles. Maintenant je sais comment il faut faire. Alors je me fous à poil, je me mets à quatre pattes, je présente mon trou en espérant qu’il est accueillant. Il ne faut pas longtemps pour qu’un type ramasse la capote, l’enfile et me pénètre. Je ne sais vraiment pas ce qu’il y a de meilleur entre sodomiser un type devant un public ou se faire défoncer devant les autres. J’essaie d’être une bonne chienne, de gémir à chaque coup, de montrer que j’aime ça. Plusieurs spectateurs jouissent sur mon dos pendant que le mâle qui me défonce se vide en moi.

Mon premier été à Paris je me suis donc principalement concentré sur les activités sexuelles de la capitale. Je crois que je me suis fait une bonne réputation, mais c’est aussi parce que j’ai tout le temps envie de sexe.

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